L’AFEST impact l’image des organismes de formation auprès des entreprises

L’AFEST impact l’image des organismes de formation auprès des entreprises

 

L’AFEST se distingue non seulement par sa capacité à personnaliser la formation, mais elle initie également une transformation profonde de l’image traditionnelle des organismes de formation. Plus qu’un simple prestataire de services, l’organisme de formation évolue vers le statut convoité de consultant en stratégie de formation et partenaire de recrutement. Cette métamorphose souligne l’impact significatif de l’AFEST sur le paysage professionnel.

Personnalisation au Cœur de l’AFEST :

L’AFEST se démarque par sa capacité à personnaliser la formation, s’adaptant aux besoins spécifiques de chaque organisme de formation. Cette approche sur mesure s’intègre de manière transparente aux exigences professionnelles, offrant une expérience pratique directement implantée dans le milieu de travail. Cette personnalisation renforce l’efficacité opérationnelle des professionnels, les préparant de manière ciblée aux défis spécifiques de leurs postes.

Transformation des Compétences, Transformation de l’Image :

Cette personnalisation va au-delà de l’acquisition de compétences pour contribuer à une transformation des compétences. Cette évolution des compétences, directement alignée sur leurs besoins, génère une perception positive de la valeur ajoutée des organismes de formation. Ils ne sont plus simplement des fournisseurs de connaissances, mais des architectes de compétences, participant activement à l’évolution des professionnels.

De la Collaboration à la Synergie

La collaboration étroite encouragée par l’AFEST créée une synergie unique entre la théorie et la pratique. En dépassant la vision traditionnelle de la formation, l’AFEST est désormais perçue comme un investissement stratégique. La formation devient une extension naturelle du processus opérationnel, érigeant ainsi un pont entre la salle de classe et le lieu de travail.

Des Bénéfices Tangibles aux Partenariats Clés 

Les bénéfices concrets de cette transformation se matérialisent à plusieurs niveaux. De la rétention des employés à l’innovation et à l’efficacité globale, l’AFEST positionne les organismes de formation comme des partenaires clés du développement continu des compétences professionnelles. Cette évolution de la perception fait de la formation un levier stratégique pour le succès des organismes de formation.

En conclusion, l’AFEST inaugure une ère où la formation est synonyme d’innovation et de croissance dans le monde professionnel. La personnalisation, la collaboration étroite, et les bénéfices tangibles positionnent les organismes de formation comme des partenaires essentiels. C’est une révolution dans la perception des professionnels, où la formation devient une force motrice de l’évolution individuelle et organisationnelle. Cette transformation n’est pas simplement un changement de pratiques, mais le début d’une ère où la formation redéfinit son rôle, devenant un catalyseur du succès professionnel.

Apprenons-nous en faisant ou en réfléchissant à nos actions ?

Apprenons-nous en faisant ou en réfléchissant à nos actions ?

La réflexivité dans l’AFEST : Une clé pour une formation professionnelle approfondie

L’AFEST (Action de Formation en Situation de Travail) est une approche de formation professionnelle basée sur l’immersion des apprenants dans leur environnement de travail réel. L’un des aspects essentiels de l’AFEST est la réflexivité, qui permet aux apprenants de prendre du recul et d’analyser leurs action professionnelles de manière critique. Car oui, nous pouvons refaire 100 fois les mêmes erreurs, l’apprentissage naît de notre capacité à prendre de la hauteur sur nos comportements.

Dans cet article, nous explorerons le rôle de la réflexivité dans l’AFEST et comment elle contribue à un apprentissage approfondi et à une plus grande autonomisation dans les apprentissages. 

 

L’importance de la réflexivité dans l’AFEST

La réflexivité est une composante clé de l’AFEST, car elle permet aux apprenants de tirer pleinement parti de leurs expériences de formation en situation de travail. Elle encourage les apprenants à observer attentivement leurs actions, leurs interactions et leurs décisions, en les examinant sous différents angles. La réflexivité favorise la prise de conscience de l’impact de leurs comportements sur les résultats et les relations professionnelles.

La réflexivité dans l’AFEST offre également aux apprenants l’occasion d’explorer leurs propres compétences, leurs forces et leurs faiblesses. En se questionnant sur leurs pratiques et leurs apprentissages, les apprenants peuvent identifier les aspects qu’ils maîtrisent bien et ceux sur lesquels ils doivent se concentrer davantage. Cela leur permet d’identifier des mesures pour améliorer leurs compétences et leur performance dans leur domaine professionnel.

La réflexion critique dans l’AFEST

La réflexivité dans l’AFEST ne se limite pas à l’auto-observation, mais elle encourage également la réflexion critique. Les apprenants sont encouragés à analyser leurs expériences de formation, à poser des questions et à remettre en question leurs propres croyances et hypothèses. La réflexion critique les pousse à aller au-delà des simples actions et à examiner les raisons et les motivations qui sous-tendent leurs comportements.

En pratiquant la réflexion critique, les apprenants peuvent remettre en cause les méthodes traditionnelles, les processus de travail et les pratiques établies. Cela favorise l’innovation et l’amélioration continue dans leur domaine professionnel. La réflexion critique leur permet d’explorer de nouvelles idées, de proposer des solutions créatives et de contribuer activement à l’évolution de leur domaine d’activité.

Le rôle des accompagnateurs dans la réflexivité

Les accompagnateurs jouent un rôle essentiel dans la réalisation de la réflexivité dans l’AFEST. Ils encouragent les apprenants à s’engager dans des dialogues réflexifs, à poser des questions stimulantes et à explorer différentes perspectives. Les accompagnateurs fournissent un cadre sûr et bienveillant où les apprenants peuvent partager leurs réflexions, leurs préoccupations et leurs découvertes.

Les accompagnateurs aident également les apprenants à interpréter leurs expériences et à les relier à des concepts théoriques ou à des connaissances pratiques. Ils soutiennent les apprenants dans leur développement en fournissant des retours constructifs et des orientations pour la réflexion approfondie.

 

La réflexivité joue un rôle central dans l’AFEST en permettant aux apprenants d’explorer leurs expériences professionnelles de manière approfondie. Elle favorise la prise de conscience, la remise en question et la réflexion critique, conduisant à un apprentissage significatif et à une évolution professionnelle continue. En encourageant la réflexivité, l’AFEST offre aux apprenants la possibilité de développer une meilleure compréhension de leurs compétences, de leurs forces et de leurs domaines d’amélioration, ainsi que de contribuer à l’innovation et à l’amélioration continue dans leur domaine professionnel.

 

Dans le prochain article, nous reviendrons en détail sur la manière de mener à bien des entretiens réflexifs.

 

 

L’AFEST : Une approche révolutionnaire de la formation professionnelle

L’AFEST : Une approche révolutionnaire de la formation professionnelle

L’AFEST, acronyme de « Action de Formation en Situation de Travail », est une méthode pédagogique innovante remettant l’entreprise au coeur de la formation. Basée sur une approche pratique et immersive, l’AFEST permet aux apprenants de développer leurs compétences directement sur le terrain, en se confrontant aux situations réelles rencontrées dans leur métier. 

Le concept de l’AFEST

L’AFEST se distingue des méthodes traditionnelles de formation en ce qu’elle met l’accent sur l’action et l’expérience concrète. Au lieu de suivre des cours théoriques dans une salle de classe, les apprenants sont immergés dans leur environnement de travail et participent activement aux tâches et projets liés à leur métier. Cette approche favorise l’apprentissage par la pratique, où l’erreur est au coeur du processus d’apprentissage, elle est même anticipée et elle devient l’occasion d’apprendre et de progresser. 

Le rôle des tuteurs et des accompagnateurs

Dans le cadre de l’AFEST, les tuteurs/accompagnateurs jouent un rôle crucial. Ils sont chargés de guider les apprenants tout au long de leur parcours de formation en leur offrant un encadrement personnalisé. Les tuteurs, qui sont généralement des professionnels expérimentés dans le domaine concerné, partagent leur expertise et leurs connaissances pratiques avec les apprenants. Ils sont là pour guider, questionner et soutenir le développement des compétences.Ce rôle s’ancre d’autant plus dans une phase de l’AFEST obligatoire, appelée “Réflexivité” qui permet à l’apprenant de prendre de la hauteur sur ses actions. 

Les avantages de l’AFEST

L’AFEST présente de nombreux avantages par rapport aux méthodes traditionnelles de formation. 

Au delà de favoriser l’ancrage des connaissances et des compétences grâce à une immersion directe dans le contexte professionnel, l’AFEST améliore l’autonomie et la responsabilisation des apprenants. En participant activement aux activités de travail, ils développent leur capacité à prendre des décisions, à résoudre des problèmes et à gérer des situations complexes. Cette approche active encourage également la motivation intrinsèque, car les apprenants voient directement l’impact de leur apprentissage sur leur travail quotidien.

Enfin, l’AFEST contribue à réduire l’écart entre la formation et l’emploi. En se formant directement sur le terrain, les apprenants acquièrent des compétences immédiatement applicables dans leur métier. Cela facilite leur intégration professionnelle et leur permet d’être opérationnels plus rapidement.

En combinant l’apprentissage par la pratique, l’immersion sur le terrain et l’accompagnement personnalisé, cette approche permet aux apprenants de développer des compétences solides et directement applicables dans leur environnement de travail. L’AFEST favorise l’autonomie, la responsabilisation et la motivation des apprenants, contribuant ainsi à une meilleure adéquation entre les besoins des entreprises et les compétences des professionnels. En somme, l’AFEST ouvre de nouvelles perspectives pour la formation professionnelle et la reconnaissance des compétences. 

Le prochain article sera dédié à expliquer ce qu’est la Réflexivité. 

Taux de rupture des apprentis

Taux de rupture des apprentis

Si le nombre de contrats d’apprentissage signés a fortement augmenté ces dernières années, il n’en reste pas moins certaines problématiques à résoudre. Parmi elles : le taux de rupture des contrats d’apprentissage, avec une moyenne à 28% reste beaucoup trop élevé. Mais quelles sont les solutions pouvant potentiellement aider à y faire face ? On à fait le point pour vous.

1. Les causes des ruptures des contrats d’apprentissage

Selon les sources que nous avons consultées, les causes peuvent être multiples et variées voici quelques exemples de facteurs qui peuvent conduire à une rupture :

 

  • La faute grave de l’apprenti, comme le non-respect du règlement intérieur, l’insubordination, la violence, le vol, etc
  • L’inaptitude physique de l’apprenti, constatée par le médecin du travail, qui l’empêche de poursuivre sa formation
  • La force majeure, comme un cas de catastrophe naturelle, un décès, une maladie grave, etc
  • Le manque d’activité formatrice, lorsque l’apprenti ne bénéficie pas d’un accompagnement pédagogique adapté ou qu’il effectue des tâches sans rapport avec sa formation
  • Le manque de communication entre l’apprenti et son tuteur, qui peut entraîner des incompréhensions, des conflits ou des frustrations
  • Le manque de respect et les problèmes comportementaux, comme les retards, les absences, le manque de motivation, le manque de savoir-être, etc
  • Le manque d’anticipation pour aller au-devant des besoins, que ce soit du côté de l’apprenti ou du côté de l’employeur
  • Le manque d’adaptation à la rigueur du monde du travail ou aux conditions de travail spécifiques à certains secteurs d’activité
  • La mauvaise orientation de l’apprenti, qui ne correspond pas à ses aspirations ou à ses capacités
  • Le manque d’encadrement social et parental de l’apprenti, qui peut le conduire à se sentir isolé ou démotivé

Il peut évidemment y avoir d’autres raisons qui expliquent la rupture d’un contrat d’apprentissage. Il peut aussi y avoir une combinaison de plusieurs facteurs qui rendent la situation intenable pour l’une ou l’autre des parties.

2. Faible professionnalisation des tuteurs

Autre faiblesse : l’insertion professionnelle est mal encadrée pour les principaux intéressés : 94% des alternants disent n’avoir bénéficié d’aucun parcours d’intégration, alors que la majorité des entreprises (60%) affirment déployer suffisamment d’action (formation, accompagnement par un tuteur, etc.).

Le rôle des tuteurs n’est pourtant pas exempt de critiques. Plus d’un alternant sur cinq (22 %) déclare qu’il n’en a pas eu au cours de son contrat, malgré l’obligation légale, à l’exception des plus diplômés (11% des bac+5 disent n’avoir pas eu de tuteur). Par ailleurs, la professionnalisation des tuteurs est encore peu répandue : 72% des entreprises ne leur proposent pas de formation dédiée.

Finalement, les motifs de rupture de contrat divergent entre les entreprises et les alternants. Pour les premières, le plus souvent, ce sont les seconds qui n’ont pas donné satisfaction dans la réalisation de leurs tâches (58 %) ou dans leur comportement (54 %), tandis que, pour les alternants, la raison de leur départ, c’est qu’ils ne souhaitent plus rester dans l’entreprise (28 %), voire que l’intégration s’était mal passée (22%) ou qu’ils avaient trouvé un emploi ailleurs (16%).

3. Éviter les ruptures de contrat

Éviter la rupture d’un contrat en alternance est un problème récurrent pour les employeurs d’alternants. En France, on estime en effet qu’au moins 25% des contrats en alternance sont rompus avant leur échéance. Ce chiffre grimpe même dans certains secteurs d’activité, à l’exemple de l’hôtellerie-restauration qui a connu jusqu’à 38,5% de ruptures de contrats d’alternance avant terme.

Pourtant, la rupture du contrat peut être dommageable pour l’employeur qui peut alors remettre en question sa capacité à former et à intégrer les travailleurs au sein de son entreprise. Il est donc indispensable d’éviter les ruptures de contrat en alternance, pour conserver un fonctionnement normal, et surtout rentabiliser les efforts fournis pour la formation de l’apprenant.

4. Comment bien préparer la période d’alternance ?

Avant de se lancer dans l’alternance, les entreprises doivent donc bien définir leurs attentes et leurs besoins.

Denis Poulain, directeur du Centre de Formation des Apprentis de l’université Pierre et Marie Curie, expliquait récemment au Monde : « Lorsque nous recevons un jeune souhaitant se lancer dans une formation en alternance, nous passons du temps avec lui pour lui expliquer ses droits et ses devoirs en détail, de façon à ce qu’il sache exactement ce qui l’attend. »

C’est donc dès l’entretien d’embauche que tout se joue : dans la majorité des cas, le maître d’apprentissage n’est pas présent, ce qui est très dommageable. L’entretien est parfois trop rapide et l’alternant n’a pas le temps de bien assimiler ses futures missions.

Avant la signature du contrat, l’entreprise peut donc :

  • Développer le système d’informations sur l’entreprise auprès des conseillers d’orientations,
  • Être accompagnée dans ses démarches grâce à l’OPCA, à la chambre consulaire ou au Conseil Régional,
  • Définir une méthodologie d’évaluation du projet de l’alternant,
  • Renforcer la procédure de recrutement et d’accueil des apprenants,
  • Instaurer un véritable suivi entre l’entreprise et l’organisme de formation,
  • Éventuellement, organiser un stage de découverte pour les élèves.

Pour assurer la réussite de l’alternance, nous vous invitons à consulter cet autre article : 

Les 10 raisons pour utiliser un ice breaker

Recrutement : comment tirer profit du refus ?

Recrutement : comment tirer profit du refus ?

Difficile de rebondir après reçu une réponse négative. Mais il ne faut pas le prendre trop à cœur, dis-toi qu’il y avait une forte probabilité pour que tu essuies au moins un échec pendant ta recherche. Tout vient à point à qui sait attendre.

“Il n’y a pas de réussite facile ni d’échecs définitifs.”

Marcel Proust

Je le reconnais, ce n’est jamais agréable d’y faire face :  il est primordial de voir le bon côté des choses et de surmonter cet échec pour mieux avancer.

1. Reste optimiste

Les événements négatifs ont tendance à davantage nous marquer qu’un événement neutre ou positif. En effet, la tentation de réfléchir à comment aurait dû se passer l’entretien ? Pourquoi je n’ai pas eu une réponse positive ? Qu’est-ce qui a joué en ma défaveur ? Tout ça peut prendre des proportions démesurées.

Néanmoins, après la frustration initiale, il est important de se reprendre en main. Ce n’est pas cette frustration qui te permettra d’avancer, crois-moi. Positive ! Tu as déjà atteint l’étape de l’entretien, c’est-à-dire, que tu as fourni jusque-là une prestation qui a su convaincre le recruteur de te proposer un entretien. De nombreuses personnes n’ont sûrement pas atteint cette étape (Ne fais pas une croix sur cette entreprise. Peut-être que l’envie te prendra de te présenter à un autre poste dans cette même entreprise. Auquel cas, pense à préciser que tu as déjà été en contact avec untel. Seulement, si tu estimes que dans ton entretien s’est bien déroulé).

2. N’en fais pas une affaire personnelle

Le recruteur ne t’a pas rejeté, il a tout simplement choisi un autre profil. Généralement, les recruteurs choisissent le candidat qui leur semble le mieux adapté au poste.

Rassure-toi, le recruteur ne t’a pas intentionnellement rejeté, alors peut-être qu’il serait utile de demander un feedback constructif (les raisons de son choix).

Ils ne te fourniront peut-être pas tous une explication, mais une simple relance (par courriel ou téléphonique) ne coûte rien. N’hésite pas à les solliciter pour faire taire les doutes qui te tracassent (si ces doutes étaient liés à des lacunes, pense à faire une formation/suivre un séminaire pour les combler).

Voici une trame pour demander un feedback positif :

Objet : demande de retour candidature  

Bonjour XXX, 

Je vous remercie pour votre retour suite à notre entretien du XXX et à l’attention que vous avez porté à ma candidature. 
Je comprends que mon profil ne correspond pas à vos besoins actuels. Je reste très intéressé par votre entreprise et je suis à votre disposition si de nouveaux postes venaient à se libérer. 
Afin de pouvoir m’améliorer, pourriez-vous m’indiquer les points qui vous ont amené à prendre cette décision ?
Ces pistes de réflexion pourraient m’aider à mieux orienter ma recherche d’emploi/alternance/stage et de corriger les éventuelles lacunes de ma candidature.

Cordialement, 

3. En ressortir grandi

Il ne te sera pas possible d’être au point sur tous les domaines, il faut savoir accepter ses faiblesses et focaliser son énergie sur les atouts et compétences qui font que ta candidature se démarquera des autres. Cela t’apportera l’énergie et l’élan dont tu as besoin pour trouver l’emploi qui te convient.

Il est important de rester positif après un échec. Change-toi les idées en faisant quelque chose qui te plaît. Sors voir tes amis, nourris tes passions qui te feront s’épanouir en dehors de ton travail.

Même s’il peut être tentant de mettre tes recherches entre parenthèses le temps d’avoir une réponse, résiste. Il est important que tu continues tes efforts jusqu’à ce que tu obtiennes un poste. Reste en relation avec ton réseau professionnel. Cette approche contribue à renforcer ta confiance et t’évite de miser sur des postes difficiles à obtenir ou priser.

Gérer un échec n’est jamais facile, mais c’est une occasion précieuse d’en découvrir davantage sur soi-même et d’améliorer ses techniques de recherche d’emploi. Avec persévérance et une attitude positive, tu pourras trouver le poste de tes rêves dans un futur proche.